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L’effet du vent sur le mouvement brownien.

J’aimerais attirer votre attention sur un phénomène dont je n’ai trouvé aucune référence scientifique pour l’instant via une petite recherche que j’ai effectuée.

Cela concerne l’effet du vent sur le taux d’absorption du co2 par les plantes. Même si ce qui alimente les plantes en co2 est le mouvement brownien des particules, que se passe-t-il exactement avec le flux de vent? Est-ce qu’une brise peut doper en quelque sorte l’effet du mouvement brownien et apporter une plus grande quantité de particules aux stomates du feuillage des plantes.

Puisqu’on peut dopé le co2 à 1500 ppm dans une serre et obtenir une croissance accentuée, le vent lui en soufflant et en faisant danser le feuillage des plantes se trouve-t-il lui aussi à doper la croissance, car même avec un maigre 400 ppm le vent propulse les particules contre la surface du feuillage ce qui augmente la capacité de captation du co2 en renouvelant constamment l’apport plutôt que de le laisser le mouvement brownien faire son œuvre à lui seul quand il n’y a pas de vent.

Sur la surface de la feuille d’une plante, quel est le niveau de saturation du bombardement de particule de co2 à 400 ppm versus la vitesse du mouvement de l’air et le temps (vent-o-logique)?

Aussi minime soit-il, quel est le gain à l’échelle planétaire que ce phénomène engendre sur la consommation de co2 des végétaux et comment cela doit favoriser la croissance optimisée?

Quel type de brise d’air (km/h) qui est optimal pour l’absorption, l’évaporation et favorise le maximum de croissance?

Comment une journée venteuse contribue donc une plus grande absorption de co2?

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