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Château fantastique avec une multitude de tourelles de différentes élévations situé dans les voluptueux cieux.

Les tours d’ivoire

Les tours d’ivoire ont bien évolué au fil du temps et de l’histoire pour s’être ancrées contemporainement, non pas sous l’égide de la religiosité, mais celle de l’artefact du rapport à la dominance des peuples.

 Car, à notre époque, où les mœurs sont de plus en plus légères et frivoles, sous la tutelle de cette liberté qui dénature la nature propre des choses. Celles qu’on croyait immuable et des plus résistante, si ardues à déconstruire socialement, que les gens auraient préférées s’attaquer a plus aisé, dans le but de profiter du progrès incessamment.

Mais, privé alors de leurs rapports à la vie sociale, ces êtres à contre nature ont œuvré bien souvent dans l’ombre d’une situation malaisante, avec virulence en gagnant des points petit à petit et lentement, mais sûrement, ils sont parvenus à changer l’équilibre des choses afin de transférer ce qui est à contre nature comme une norme des plus rigoureuse, et à la faire respecter comme si le progrès était en fait, le bafouement des valeurs qui ont ainsi permis à la civilisation de fleurir. 

Ces tours d’ivoire reconstruite au goût du jour sont en fait une façon de faire part à quelqu’un ou a un groupe que péjorativement il s’enferme au sommet de la compréhension d’une problématique, car lui seul trouve le raisonnement valable, puisque si accablé par le résultat de ses réflexions alambiqué, l’être tiraillé à mené une véritable recherche dans l’exhaustivité des faits, pesant et mesurant les bien-fondés d’une telle préfecture où règne le soi-disant ordre social.

 L’incapacité du débat social à penser mal et d’explorer les possibilités d’un tel abîme, que la moindre dissonance cognitive le rend pernicieux à bien des égards, car ce qui rend la mise à niveau de l’auditoire quasi imperfectible c’est que le béotien à tellement grenouillé dans son marais putride, à l’abri d’idée contradictoire, que la route vers la compréhension est tellement sclérosée que le but à atteindre n’est qu’en fait de rétablir l’équilibre vers le juste, l’équitable.

Mais le messianisme est un fou dangereux, comparativement aux minorités qui ont subi l’ostracisation, eux savent et ont vécu les pires sévices historiques. Comment pourrait-elle faire pire que ces légions de morts que nous lèguent les religions?

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