On le voit abondamment chez les animaux, ce mécanisme dont personne ne semble observer la pertinence qui est en fait un point de bascule névralgique ou l’agresseur devient l’agressé.
Mais que se passe-t-il au juste dans la cervelle d’un porteur d’une telle violence pour qu’un tel comportement voie le jour, et ce même avec les bêtes les plus féroces dans la nature.
Cette espèce de reddition pour des besoins de survie plutôt que de combattre jusqu’au dernier souffle de vie.
Mais, pourquoi ce mécanisme n’a pas plus de mémoire quant à ça promiscuité avec la raison, et comment dans le feu de l’action de tels calcules presque mathématique peuvent être fait quant aux risques de blessures graves ou de mort certaine ce qui a pour attribue de faire reculer le prédateur le plus féroce.
L’être humain est-il doté de ce mécanisme à des degrés fort différents selon leur culture, mais n’est-ce pas ce qu’on tente d’amener comme point de vue pour justifier le cessez-le-feu dans la guerre en Palestine.
Bref, on veut forcer la main d’Israël dans sa quête de vengeance envers des terroristes afin que leur mémoire soit chargée de souvenir amer quant à leur attaque des plus sauvage ce qui aura pour conséquence d’éloigner leur envie folle de contre-attaquer.
