Depuis la naissance d’internet, puis des réseaux sociaux, on peut assister plus subtilement à ce que font les différents psychismes lorsqu’ils échangent entre eux, et plus particulièrement à l’écrit, alors qu’autrefois, dans le vif d’une discussion intransigeante, les propos sombraient dans l’oubli des plus abyssal d’une discussion à haute voix tonitruante.
D’où la complaisance de certains qui arguaient sous les vocables des plus hostiles, leurs hégémonies qu’ils croyaient valables, à l’endroit de tout détracteur afin de l’accabler de tous les maux les plus pernicieux, et le tout, en parfaite connaissance de cause puisque le très célèbre proverbe leur avait été cité de façon ad nauseam lors de leurs enfances.
« Les paroles s’envolent, les écrits restent. »
Proverbe qui dès lors; marque au fer rouge, toute discussion (sans témoins) d’une espèce de substitution d’ouverture aux mensonges, une fourberie des plus éhontée en guise de mauvaise foi.
Les tenants de la liberté expression, qui ont à cœur, cette manière vindicatrice de dire les choses sous le couvert de l’anonymat, sans ressentir la moindre crainte perceptible de faire éclater la supercherie au grand jour, afin d’éclairer vigoureusement l’archétype du parfait menteur, ce sombre personnage qui ne se voit forcément plus aussi facilement que sous une pluie abondante de vérités, car de nos jours, ils sont contraints à rédiger leurs messages sous la plume la plus austère devant le tribunal présidé par les honorables; amis et connaissance.
Le principe « d’observateur externe » n’était guère très développé naguère dans les échanges interpersonnels, brefs aujourd’hui on peut t’être ce fameux petit oiseau juché confortablement sur sa branche d’eucalyptus et qui prend connaissance de ce qui se produit dans les échanges, dans les réactions de tout un chacun afin d’y produire l’analyse de la situation réelle de façon beaucoup plus large, précise et contiguë…
Puisque l’histoire au sens large à la mémoire courte en quelque sorte en ce qui concerne le contenant, mais qui est très développés pour le contenu des esprits peu conventionnels et de leurs théorisations du monde réel.
Ce fameux contenant et ses précieuses théories, qui ne peuvent qu’être développées qu’au sens général de la collectivité, puisque l’être est pratiquement indétrônable de son mode de fonctionnement préférentiel, malencontreusement, mais très peu selon moi, il peut extraire de son environnement, des tendances outrancières qui sont assez pernicieuse pour parvenir à dénicher des aspects du mode de fonctionnement d’autres psychismes.
Car selon moi, les particularités qui accablent l’être semblent être tout simplement des prédispositions à avoir sélectionné leurs modes pensés préférentiels pour pouvoir avoir à toute fin pratique l’analyse la plus fine de leurs environnements lors de leurs jeunes temps,
Visiblement, ils ne semblent pas avoir la capacité de changer de mode d’analyse pour cerner le tableau dans son entièreté. Mais qui l’a? Puisque ce mode de réflexion préférentiel a construit leurs identités propres, le renier les pousseraient dans les abîmes de la préfecture de l’être, ce serait alors vécu comme une réinitialisation de l’identité propre…
Alors une bonne prédiction est le signe que les informations dont vous accordez de l’importance étaient extrêmement valables, c’est une forme de valorisation d’obtenir du succès dans le déroulement des évènements, certains se bâtissent une crédibilité appuyée sur des prédictions non erronées, ce qui n’est pas facile, car leurs admirateurs sont bien souvent d’irréductible Gaulois tout comme eux.
J’ai ce fort doute concernant leurs mémoires, peut-être qu’elle ne privilégie pas le même agrégat de réalité, ce qui est assez fabuleux en soit. Est-ce un cadeau de la nature? Et pourquoi alors si tel était le cas, toujours vouloir se réunir ou se restreindre sous cette égide?
C’est peut-être la familiarité des mécanismes psychiques qui donne le même éventail de ressenti lors de la captation de fait marquant. C’est peut-être une raison similaire qui a uni ceux dont le quotient intellectuel est élevé.
Cette capacité de pouvoir se transposer dans des choix qui découleront dans l’avenir, sans nécessairement être rendue physiquement ou concrètement à ces choix, cela fera de cet être quelqu’un de jugé paranoïaque, car ses congénères qui utilise d’autres modes de pensée préférentielle utilisent ce terme pour discréditer en quelque sorte ce mode de pensée.
Aors que pour la conscience probabiliste, la puissance de calcul ne se situe pas dans l’analyse d’une suite logique montée en puissance, mais bien dans l’analyse de scénario plausible qui permettrait de faire une projection la plus juste possible ou d’amener une suite d’évènements la plus près possible d’une cible fixée préalablement, ce qui peut très complexe et ardu, car cette anticipation faite appelle à son système de valeur propre qu’ils ont hiérarchisé dans bien des cas pour maintenir une certaine harmonie et pouvoir s’orienter dans tous ses choix possibles qui s’offre à eux…