La faune neurologique est vaste et diversifiée, mais pour pouvoir la cerner, il faut être à même de discerner les capacités de chacun, dans le cas des personnes articulant leurs pensées en favorisant naturellement la branche de l’identité de soi au travers des méandres de la collectivité, il faut tout d’abord reconnaître que cette factorisation psychique s’organise à l’effigie du sens.
Eh oui, le sens ou ce qui a du sens, cette capacité d’organisée les choses pour en extraire ce que l’homme de la rue appellera de façon concise le (GBS) ou si vous préférez (le gros bon sens).
Le (GBS) donne un ordre de grandeur aux choses et ne mélange pas des items qui n’ont pas la même valeur entre eux, car le cas échu, il sous-catégorisera en priorisant les composantes des items et créera un ordre selon ce qui sera jugé de primordiale à banale, le but de tout cela est de ne pas en faire une espèce de poutine idéologique incongrue. L’identicus collectivus utilisera la logique pour en faire des séries de même valeur, des croissantes, des décroissantes. Mais dans bien des cas, il n’aura assimilé l’esprit de calcule mentale à la logique, bref tout comme ceux qui articule leurs pensées sous la bannière idéologique, et c’est deux types esprits font rarement bon ménage, car ils n’en viennent aux mêmes conclusions à un problème donné, ce qui crée de la discorde…
Les bien-pensants idéologiques savent à quoi je réfère ici, bref c’est bien connu, ils le lancent sous ce vocable et de façon méprisante comme ceci; « les sciences molles sans mathématique » pour accabler les personnes qui ne sont pas orientées vers l’esprit de calcule, ce qui en fait selon eux, une race neurologique inférieure, car les tests psychométriques ont l’apparence d’être orientés précisément vers leurs capacités cognitives, puisque leurs facultés sont facilement mesurables…
L’identicus collectivus à l’esprit de la territorialité sociale, n’entre pas quiconque sur son territoire pourvu de frontière où les lignes de cadastre ne sont guère imaginaires, car comparativement à l’être idéologique qui y verra une raison très abstraite dont l’objet est de faire l’application de taxe et d’impôts pour une gouvernance optimale le tout selon l’idéologie collective prévalente ambiante.
Mais bon, pour la façon d’être de la bête, le multiculturalisme dont les esprits sont originaires d’une culture étrangère et qui immigrent sur son territoire pour y vivent leurs cultures afin de le fractionner ou encore pire, le dissoudre culturellement dans l’obtention d’un tout collectif qui serait ,sans saveur, ni odeur est une pure et perpétuelle aberration dont il ne manquera jamais l’occasion d’en faire l’éloge, puisque le temps nécessaire afin que les personnes immigrantes s’assimilent à la culture d’un territoire donné à des limites, car ce ne sont pas tous les êtres qui sont malléable sur cet aspect et puisque lui-même ne l’ait pas vraiment et qu’il se doute fort bien qu’une bonne partie de l’immigration n’en auront jamais le potentiel.
Idéologiquement la culture des autres serait un plus à la société au sens individuel, le désire d’une certaine mixité culturelle serait un atout collectivement pour la mondialisation, car comment réussir à faire entrer des pays qui sont des tous collectifs en guerre les uns contre les autres, cela peut être faisable, mais le coefficient de difficulté est sans aucun doute plus élevé, c’est pour cela que logiquement ils ont hissé l’universel drapeau blanc.
Je ne crois pas que le colectivus identicus soit plus guerrier qu’un autre profil psychologique, mais il suscitera beaucoup de méfiance de la part des autres types de psychisme, puisque sa mémoire a été façonnée de façon magistrale avec tous les faits relatifs aux guerres qui ont abouti à modélisation des pays et territoires. C’est pour cela, lorsqu’elle est froissée, la bête entend encore siffler les projectiles et a l’odeur de la poudre à canon au nez, bref il a de la difficulté à s’abstraire des guerres historiques antérieures ce qui génère de la suspicion chez l’autre lorsqu’il fait valoir ses arguments.
PS Ici le mot poutine fait référence au plat gastronomique apprécié des Québécois, et non de l’homme politique russe…
La poutine est un mélange de :
1.Un tiers de frite maison (non congelé).
2. Un tiers de fromage cheddar caillé en grain.
3. Un tiers de sauce dédier au plat.