L’actualitéophilie vous connaissez? Hors de plaisanterie, je ne crois pas que ce terme existe, mais c’est en quelque sorte la dépendance à l’actualité, dans mon cas elle n’est pas très stimulante puisque j’ai horreur de comment la nouvelle est sélectionnée pour être mise à la une selon son risque de créer le » BUZZ » et je n’apprécie guerre comment elle est traitée ou analysée dans bien des cas.
Mais je voudrais attirer votre attention sur un sujet d’actualité préoccupant. Et à vrai dire, plus que j’augmente ma compréhension des virus, plus que je suis inquiet pour les pauvres personnes qui en succombent. Présentement au Québec (Canada) le variant du virus de souche (anglais) n’a pas atteint notre province, mais il est à nos portes puisqu’il a conquis la province voisine qui est l’Ontario.
Et puisque je débute donc le processus d’apprentissage en virologie et que je n’y connaissais absolument rien auparavant et que présentement je me qualifierais de novice, donc j’ai plus à apprendre que de ce que j’ai appris, j’ai plusieurs questionnements en suspent que j’apprécierais vous soumettre pour obtenir vos préoccupations ou vos suggestions, puisque je me doute que probablement se camoufle sur l’internet des individus qui ont soit la formation ou les connaissances pour porter un jugement sur les questions qui me tracasse l’esprit.
Donc ce que je trouve particulièrement effarant et qui n’est pas encore véhiculé par les médias de masse c’est le phénomène de co-infection de la souche du variant qui est québécoise et de la souche anglaise… Et il me semble n’y avoir absolument rien de concret de fait en termes de recherche sur cet aspect.
Que se passe-t-il lorsque cette situation qui semble hypothétique à l’heure actuelle se trame dans le corps d’une personne qui est en parfaite santé? Est-ce que par exemple le système est sollicité de façon à doubler l’effort ou la contribution du système immunitaire? Comment cela se manifeste-t-il?
Pour les personnes qui ont une comorbidité est-ce que leur système étant foncièrement affaibli par l’effort substantiel fourni afin de vaincre une pathologie subséquente nuit encore plus grandement à leur rétablissement?
Est-ce que ce phénomène augmenterait la létalité pas uniquement en nombre, mais aussi au sens qu’elle affecterait et diminuerait le barème du seuil de mortalité en plus bas âge?
Donc voilà les questions que je pose pour l’instant, je partage donc cette réflexion pour ceux et celles que ça pourrait intéresser. J’ai aussi un questionnement vis-à-vis le test PCR, je vais réfléchir à comment j’articulerais bien cela et je vais vous le faire parvenir.