Après avoir fait une petite consultation concise du site Wikipédia dans le domaine de la psychologie, j’ai constaté que le concept de mémoire dont j’ignorais l’existence à cet instant, mais dont je comprenais le principe inhérent, car j’avais fait la découverte au préalable due à l’expérimentation d’une anomalie conjecturale d’un trouble d’exécution du mouvement de la main, lors de ce court épisode, la locomotion de ma main était tout à fait erratique. Bref pour l’exprimer de façon simple et concise, dans le jargon de l’homme de la rue, je me demandais à cet instant, ce qui était en train de se passer exactement, lorsqu’ à toute fin pratique, je voulais exécuter une tâche relativement banale, une autre tâche presque dénuée de tout sens s’exécutait automatiquement à sa place.
Ce phénomène est relativement courant, mais pourquoi y accorder aussi peu d’importance? C’est ce que nous allons de tenter d’observer et tenter de cerner un tant soit peu ce qui se cache derrière se vide conceptuel.
Alors cette austère mémoire se dénomme sous le nom caractériel de mémoire procédurale, et ne semble visiblement pas être attribuée à aucun chercheur sur le site internet Wikipédia, qui peut être parfois très superficiel en termes de contenu, car qui voudrait y accorder beaucoup de temps à rédiger et créer un article, pour y voir son contenu biffé par un autre chercheur qui le juge pernicieux, dans ce cas de figure, ce n’est pas facile de faire avancer le consensus scientifique de ce qui est généralement admis.
Mais, dans la démesure d’un jugement de nature péremptoire, la science peut franchir de petits pas comme de grands pas en relativement peu de temps, et ses exploits peuvent être accomplis par tout homme libre de réfléchir un tant soit peu à un problème insoluble de façon gargantuesque.
Pour le problème qui nous accable présentement, ce qui est particulièrement fascinant, c’est que cette mémoire se dénomme sous l’appellation de « mémoire procédurale ». Comme son nom l’indique, eh bien, c’est la mémoire du savoir-faire et des habiletés concrètes, comme par exemple lacer ses chaussures. La tâche semble très simple lorsqu’elle est apprise et comprise, mais au comment est-elle difficile à apprendre aux balbutiements de l’être qui tentent par tous les moyens de créer la stratégie gagnante.
Une question fascinante serait d’essayer de déceler le début de son champ d’action et de cibler l’endroit, si puis-je dire, où se termine-t-il par rapport aux d’autres fonctionnalités psychiques, qui sont a priori très subséquente où alambiqué à ce phénomène qui sort de l’ordinaire?
Ce n’est vraiment pas évident de répondre exactement à ce genre de question, car cela est abscons, mais essayons tout de même de tracer une route abstraite par la schématisation de pensée déductive, puisque cela devrait augmenter grandement notre niveau de compréhension du phénomène.
Évidemment, comme tous le savent, il y a ce foudroyant mode de conduite manuel, qui est pour l’esprit humain, sans conteste, une évidence même, de ce fait il serait toujours priorisé pour faire face aux différentes probabilités qu’offre la vie. Ce serait ce qui nous donne notre humanité? Mais est-ce vraiment le cas? Car, qui réellement n’apprécie guère souscrire à tout élan de liberté, et de ce fait ne voudrait être en contrôle parfait des situations que la vie lui réserve en toute connaissance de cause, car l’humain n’apprécie se concevoir psychiquement sous l’égide d’un programme qui pourrait s’apparenter à de l’informatique biotechnique.
Je sais, ce n’est pas très reluisant sous cet aspect, mais alors, pourquoi le psychisme humain dans sa globalité n’est pas parfait, et nécessite des corrections, ou plutôt biffé les scripts de codages erronés, puis remplacé automatiquement, par des conditions supérieures que la conscience ordonne, pour ne pas se voir dans l’obligation de gérer tout, au cas par cas.
Mais, cette conscience, puisqu’elle remplace la ligne de script d’erroné, l’efface-t-elle ou elle y réattribue des informations pertinentes afin de corriger l’erreur d’enclenchement? Ou remplace-t-elle l’ordre dans lequel l’erreur s’est déclenchée?
Pour monsieur et madame tout le monde, ce sont des questions qui ne sont pertinentes que pour l’être qui veut connaître les alinéas du soubassement de la structure psychique. Bref, essayer de savoir comment les structures fonctionnent et sont organisées. Mais, puisque les mots que les gens attribuent au phénomène ne sont guère élogieux, le ténu côté péjoratif de la chose fait en sorte qu’ils ne tiennent pas particulièrement à enclencher la mise en œuvre de processus de découverte. Bref, dans le langage du peuple, ils s’exclameront, « Je me suis fourré », et articulé dans celui du Français, ça s’attribuerait ainsi, « Mais quelle bourde ai-je faite là ».
Jamais, avec un tel constat linguistique, on n’en viendra à isoler des parts de fonctionnalités psychiques, c’est très dommage.
Mais bon, pour ce qui nous intéresse, pour cerner le début et la fin de ce qui est programmé en soi, il faut percevoir l’enclenchement d’un groupe de fonctions en bloque, c’est similaire à quand vous nouez vos souliers, vous enclenchez une série de fonctions cognitives qui se regroupent et se déroulent sous la forme d’une méthode pour obtenir le résultat final qui est une boucle, qui est robuste, mais qui se défait très bien, lorsqu’on à la stratégie optimale pour la dénouer. Je sais que ça paraît évident, mais ça ne l’ait vraiment pas techniquement, de synchroniser les bons gestes aux bons endroits dans l’espace et aux bons moments pour arriver aux résultats finals escomptés.
Obtenir la meilleure séquence pour exécuter une tâche est parfois un calvaire pour la conscience, mieux vaut l’avoir enregistré dans la mémoire procédurale et corrigée ce qui n’est pas parfait que de tenter de tout contrôler tout de façon manuelle.
Mais, c’est cette impression de toujours êtres en contrôle, est-ce qu’on pourrait l’appeler l’agilité de la dextérité motrice, lorsque j’observe de jeunes enfants, ils semblent en être dépourvus, cela sous-tendrait que le mode procédural est en soit excommunié, car ça dépendra du niveau de concentration de la conscience à la tâche à faire qui donnera un certain aspect de fluidité à la manœuvre, mais pendant ce temps une multitude de tâches d’arrière-scène sont mises en suspens.
Cette fameuse voie de contournement de la mémoire procédurale pour apprendre de nouvelles commandes dans des situations inusitées et qui n’a jamais connu aucune forme d’expérience concrète dans la schématisation de procédure, cette prodigieuse mémoire enregistre les nouvelles commandes d’exécutions sans quoi la vie serait terriblement exigeante envers la conscience et terne en ce qui a trait à l’élaboration de pensée autre que des lignes d’encodages de procédures à suivre.
Donc, probablement lorsque la mémoire procédurale n’a aucune procédure de préétablie, on verse par automatisme dans le mode manuel qui charge la conscience d’exécuter la tâche pour la première fois. Mais ça semble bien être une inversion de rôles qui est d’amblé à l’avantage de la conscience qui ne pourrait passer sa vie durant à exécuter de nouvelles tâches, elle perdrait alors ce que j’appellerais de la vivacité et de la rapidité à être ouvertes à d’autres facultés qui ont besoin de correction de la conscience, ce qui me laisse présager que la conscience vie parmi plusieurs mécanismes subalternes dont elle manœuvre avec finesse les écarts types de conduites invariables.
Il doit falloir que ce mécanisme soit extrêmement rapide et doit donc être très bien ordonné ou classé pour qu’il ne se produise des erreurs trop souvent!
Un exemple d’erreur qui s’est produite dans ma vie concrète de tous les jours, c’est lorsque j’ai voulu reculer ma remorque dans mon entrée de cour avec mon camion. J’ai l’habitude d’y reculer avec ma camionnette (Ram 2013), mais lorsque j’ai attelé ma remorque pour la reculer dans l’allée, je cherchais le bras d’embrayage de la colonne de direction de ma fourgonnette (E-350 2000) plutôt qu’une roulette d’embrayage de mon camion, donc c’était une erreur de la mémoire procédurale. Mais qu’est-ce qui a de fascinant dans cette erreur, c’est le fait que la remorque était attelée sur le camion qui créez l’erreur puisque la procédure pour enclencher le reculon (la renverse) sur la camionnette est très largement utilisée toutes les fois que j’y recule dans l’allée sans la remorque. Pourquoi alors qu’une vieille procédure que j’utilisais il y a 7 ans refait surface. Cela veut dire qu’il y a une notion de commande qui a été intriquée au fait de reculer avec une remorque qui primait sur une autre commande simple qui est celle d’enclencher le reculon (la renverse) de la camionnette. Pourquoi lors d’une fraction de seconde, le mauvais choix a primé? C’est que la conscience n’a pas accès à ce que contient la commande, mais à ce qu’elle indique, par analogie c’est comme une bibliothèque, c’est que la commande ou le document porte le mauvais nom ou abréviation. Il est périmé au sens qu’il contient une erreur majeure par rapport à un changement majeur dans la réalité. Selon moi, ce n’est que la conscience qui peut supprimer l’erreur pour ne pas qu’elle se reproduise dans la mémoire procédurale.


De la façon dont le choix a été effectué dans le feu de l’action, la commande a bien une notion de début et de fin au sens que ce n’est pas un flux continu, il peut y avoir une boucle dans une commande pour effectuer une séquence qui se renouvelle comme pédalé à vélo, mais selon cette expérience la commande commence aussitôt que la conscience veut reculer le camion dans l’idée générale, alors le signal est envoyé à la mémoire procédurale qui elle envoie le programme à une autre entité qui est le centre de coordination motrice qui elle me semble avoir moins de ratés comparativement à la mémoire procédurale…
Est-ce qu’on ne vivrait qu’une seule fois un événement psychomoteur nouveau avec cette fameuse mémoire? Personnellement la constatation que j’ai faite c’est que l’inconnu au sens procédural engendrerait un stress pour la conscience donc ils seraient interreliés par plus qu’une simple connexion conceptuelle entre les deux fonctions du psychisme, il y a plusieurs autres mémoires qui s’y couple.
En tout cas, réfléchissez-y aux erreurs procédurales lorsque vous passez d’iPhone à Android… J’espère que ce charabia a été compréhensible…