Lors d’un bulletin ne nouvelle radio canadienne, il y avait ce reportage traitant de Léonard de Vinci, et qui traitait plus particulièrement de l’œuvre picturale de l’artiste. Suite à cet exposé sur le génie de l’ouvrage, l’animateur y va de la remarque désobligeante qui est la suivante (oui, mais il ne finissait pas ce qu’il commençait) comme si cela était une tare consanguine que l’artiste était porteur.
Je ne suis pas dans la tête de Léonard de Vinci, mais mon expérience personnelle vis-à-vis le dessin me laisse douté de ce qu’il bien d’un phénomène mental qui faisait en sorte qu’il n’achevait pas ces peintures et fresques.
Moi, personnellement, je ne dessine pas pour le plaisir de dessiner, bref je ne suis pas un artiste accompli en un domaine en particulier, je dessine pour exprimer un concept, à ce moment je suis prêt à investir beaucoup de temps.
Le dessin ou l’esquisse où j’ai accompli le plus d’heures de travail est sans aucun doute mon Katy Minet ou il y a facilement deux journées de 16 heures de dessins d’investies sans interruption. Ce qui est assez inconfortable à la longue, mais le temps lui s’écoule comme par enchantement lors de cette activité.
Le problème ce situe à ce niveau puisqu’il faut arrêter pour dormir ou il peut arriver que l’on peut-être dérangé pendant le travail de conception de l’œuvre la mémoire flanche dans l’application procédurale des couleurs, bref je ne me souviens plus ou je suis rendu avec mes couleurs, cela gâche le travail puisqu’il y a une démarcation facilement décelable entre les deux journées de travail.
C’est mon explication pourquoi Léonard de Vinci ne terminait pas ces tableaux, dessin, fresque. Il devait être dérangé lors de ces créations ce qui lui faisait perdre le fil de ces idées ou de ces couleurs si vous préférez. Il y a cette citation qui provient de lui, dont je me souviens à brule-pourpoint .
(Il y a ceux qui voient, ceux qui voient lorsqu’on leur montre et il y a ceux qui ne voient rien…)
J’ai acheté le nécessaire pour peindre, je voulais réaliser mon Katy Minet en peinture pour l’afficher dans ma véranda.
Le concept était le suivant, la sphère tridimensionnelle (qui est en fait une balle de laine) est difficile à accomplir puisqu’elle prend la lumière en termes de couleur sur chaque corde de la balle d’une façon à donner la perspective de profondeur à la sphère entremêlée. Les couleurs les plus rares sont celles dans la parti du bas qui font l’objet d’une ombre au-dessous de la sphère, c’est pratiquement la même couleur que les yeux de la chatte.
La tête du chat est positionnée pour pouvoir créer l’impression qu’elle est en sous bassement, sur le point d’attaqué avec ces griffes la ficelle plongeante de la balle de laine. Puisque le panier où la chatte est confortablement couché est sphérique et que la tête peut prendre plusieurs directions de la façon qu’elle est positionnée, lorsque la luminosité est tamisée dans la maison on pourrait croire grâce à cette illusion qu’elle nous suit du regard avec ces yeux bleus. Je me souviens que j’ai été déçu du résultat puisque les couleurs ne sont pas régulées dans le capitonnage du panier au côté de ça tête, il y a une différence notable entre la gauche et la droite de la tête ce qui nuis à l’effet que je voulais donner, mais bon je conserve ce dessin précieusement puisqu’il suscite beaucoup d’Intérêt pour moi.