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L'apiculteur travaille à collecter du miel. Notion d'apiculture.

Les abeilles domestiques et l’hystérie alarmiste des environnementalistes.

À l’ère civilisationnelle de l’industrialisation des nouveaux procédés, de nouvelles problématiques jaillissent parmi l’éventail de problèmes récurrents d’ordre sociétal. Un de ces insolites problèmes dont les fondements sont de nature scientifique se voit dès lors médiatisé pour une fin de conscientisation populaire, afin de mettre une certaine pression sur les élus politiques. Puisque ces derniers sont sous l’égide de différents courants de pensée, cela se traduit par de l’argumentation qui peut varier énormément d’un parti à l’autre, d’où l’importance de bien peser les bénéfices et les inconvénients pour la société que de tels nouveaux procédés dans le domaine de l’agriculture peuvent avoir comme conséquence dans un avenir plus ou moins rapproché. Le rôle des politiciens est donc plus qu’essentiel dans la mesure, où ils peuvent légiférer de la réglementation quant à la pulvérisation desdits insecticides qui est le vecteur principal de la chute des inventaires d’abeilles domestiques. Quant aux vecteurs subalternes, ils peuvent tout de même avoir une lourde incidence sur la durée de vie d’une abeille moyenne quant à la géoposition des ruches. Nous explorerons donc les possibilités qu’engendre une telle pulvérisation d’insecticide afin d’obtenir les meilleurs résultats quant aux mécanismes de reproduction des ruches.

Premièrement, évidemment l’idéal serait de ne pas utiliser d’insecticide, mais quel serait dans ce cas de figure, les tenants et aboutissant quant aux dévastations des récoltes par des insectes nuisibles. Quels phénomènes se passeraient-ils si notre voisin en fait la pulvérisation et pas nous. Bien sûr cela impactera sur sa marge de bénéfice, mais au-delà de ça se dessine la pérennité alimentaire pour l’être humain et bien des espèces animales. Donc, ce qu’il faut comprendre de cet aspect, c’est le niveau de concentration selon le rôle que les abeilles jouent dans la ruche, car celles qui décèdent pourraient-elles être celles qui veillent aux butinages des fleurs, est ce qu’elles meurent dans la ruche ou elles manquent à l’appel? Ce niveau de concentration d’insecticide dans la fleur varie tout au long de l’année, à cause de la dilution par la pluie et la période de temps où a lieu la vaporisation. Une légifération optimale tiendrait en compte, la période de fleuraison de chaque espèce végétale, afin de limiter la concentration pendant la période de fleuraison pour ne pas que les abeilles subissent un choc de contamination plus élevé que l’insecte qu’on veut irradier avec ledit insecticide, car l’abeille se badigeonne littéralement de pollen.

Deuxièmement, un flux d’approvisionnement positif de la ruche pourrait être un atout considérable à la bonne santé de la ruche et à la progression de sa population. Cela laisse donc place à plusieurs interprétations qui devraient être expérimentées et analysées pour déterminer avec exactitude si la logique cartésienne s’applique relativement bien aux différents procédés mis en place dans le travail d’équipe qu’est l’organisation d’une ruche. Donc, est-ce qu’une diversité d’espèces végétales auront l’effet de fournir aux abeilles le plein potentiel quant à l’expansion de l’œuvre, alors que, lorsqu’elles sont mises dans le dessein d’une monoculture, elles se retrouvent alors à avoir une culture à proximité, mais qui ne sera que pour une courte période de temps, il se pourrait alors que  les abeilles puisent dans la ressource «le miel » pour faire l’exploration de grand territoire de conquête de pollen, ce qui augmente drastiquement les risques pour une abeille de ne jamais revenir à la ruche.

Quant aux solutions, il semble y avoir deux façons de procéder, certaines règles peuvent déterminée comme de grandes vérités de la Palice, comme par exemple, ne pas pulvériser lors de la floraison. Mais est-ce la fleur qu’on veut protéger, ou plus tard le fruit pour qu’il demeure comestible pour l’être humain?  Ou c’est la plante qui demeure attaquée en tout temps. L’autre façon serait de procéder à une collecte de données en temps réel, grâce à un dispositif sophistiqué cellulaire, où nous pourrions obtenir le poids total de la ruche en temps réel, sa température extérieure et intérieure. Aussi examiner la faisabilité que chaque plateau de la ruche soit indépendant et qu’on puisse obtenir des mesures de poids d’entre eux et leurs températures. À chaque soir des algorithmes pourraient effectuer le bilan de la journée, lorsque les abeilles sont revenues au bercail. Puisque cet algorithme aurait accès aux bilans météorologiques locaux, nous pourrions ainsi juxtaposer les journées de pluies à nos données pour observer quand ventiler la ruche avec des volets automatisés pour éviter les chocs thermiques. Ces ruches seraient munies de collectes d’eaux pluviales, et auraient un abreuvoir interne pour désaltérer les abeilles après leurs longs périples. Nous pourrions alors examiner la concurrence avec des ruches témoins, et leurs différences marquées. Nous pourrions déménager les ruches pendant la nuit et examiner le choc de transport pendant la nuit et la capacité adaptative des abeilles à être déplacées dans les monocultures pour éviter que l’agriculteur morcelle ses champs en plusieurs cultures, les ruches pourraient être déménagées sur de courte distance. Nous pourrions ainsi croiser dans le temps une multitude de facteurs qui seraient intéressants pour constater s’il y a corrélation entre la quantité de miel et sa concentration en pesticide. Ou la corrélation entre plus de fleurs à proximité, égal plus d’aller-retour dans une journée de travaille versus l’eau de disponible dans la ruche. Quelles sont les conditions optimales pour obtenir le moins de dépenses énergétiques des abeilles. Est-ce qu’augmenter la masse totale de la ruche amène nécessairement plus de miel?

En conclusion, puisque les données fournies pour cette analyse sont très peu précises et très alarmistes, je considérais qu’une étude voit le jour dans les plus brefs délais, pour pouvoir faire l’acquisition de données fiables versus les meilleurs résultats obtenus de façons traditionnelles et de façon optimisées. Je voudrais ainsi, faire part au politicien que plusieurs pistes de solution peuvent être explorées afin d’augmenter la viabilité des abeilles domestiques.

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